Mes Akita, et les autres
Pour moi, la passion de l'Akita, date de 1991, à la même époque, où mon père décéda, à l'âge de 56 ans.
Finou, Quérida, et Wendy
A la maison, la joie ne régnait pas, c'était d'une tristesse, et je voulais donc remédier à tout ça.
Il y avait déjà, pourtant, Quérida, et Fidzgérald, mes deux dalmatiens, Elodie, la Doberman de ma soeur Alice, Belle, une braque de Weimar, abandonnée lâchement, avec une patte cassée, car plus potable pour la chasse, Wendy, une mélangée, de je ne sais à vrai dire Quoi, que le propriétaire allait noyer, Coraline, une chienne de chasse, jetée d'une portière, et malgré tout ces toutous, qui vivaient harmonieusement ensembles, sans aucun problème, sans aucun coup de dents, je voulais rajouter de la vie dans cette maison, si triste, pleines de pleures.
Giacchino et sa famille, face au jeu
Et, c'est en lisant, un livre de chiens, que je suis tombée, par hasard, sur la photo d'un magnifique Akita bringé. Une idée, me traversa donc la tête, " Et pourquoi pas un Akita Inu ! " Race, encore inconnu, à mes yeux. Pourtant, mon idée de départ, était de reprendre, un autre petit dalmatien, mais finalement, je craqua pour un Akita.
D'Chiara, Giacchino, et ses frères, et soeurs
C'est vrai, qu'à l'époque, les éleveurs d'Akita étaient peu nombreux, et mon choix, fût vite fait. C'était l'Elevage d'Aleyska. Peut-être que certain, d'entre vous connaisse, mais de nos jours, il n'existe plus, d'ailleurs depuis 1992.
Jacques et sa Meute, Elodie, Coraline, Wendy et Belle
Je le sais, car le chiot que j'avais choisi, un joli petit Akita Inu blanc, que je prénomma, Giacchino, petit Jacques ( en Italien ) afin d'honorer, la mémoire de mon père Jacques, me quitta, exactement, en 1992, alors qu'il était, à peine âgé de 15 mois. Empoisonné à la Strichnyne, par une cruelle personne, par un monstre, par l'horreur même, qui osa retirer, cette petite vie, alors que ce chien était un ange, et qu'il n'aboyait jamais. Même si ce chien, avait été le plus monstrueux, aucun animal, n'a le droit de subir ça. Pauvre Giacchino, comme je pouvais l'aimer, et comme il me manque.
Bien sûr, un chiot, ne remplacera, jamais un père, d'ailleurs, aucun chien ne le pourra, mais mon père me manquait, tellement, qu'il me fallait faire quelque chose.
Fidzgérald, et Giacchino
J'avais pourtant, Fidzgérald, le dernier cadeau de mon père, qu'il avait été chercher avec moi, alors qu'il était malade, mais pour moi, il aurai fait n'importe quoi. Mais, quand, je regardais Fidzgérald, ou Finou, son petit diminutif, je repensais trop à mon père, et j'avais très mal.
Alors, j'ai trouvé, à Finou, un copain de jeux, Giacchino, et quand je le regardais ce n'était plus pareil, il jouait, et était toujours joyeux. Pourtant, il avait ses autres copines, sa fiancé Quérida, Belle, Wendy, Coraline et Elodie, mais c'était pas pareil, car c'était des filles. Là, il jouait entre Mecs. Voilà, peut-être, la différence. .Toute, la différence
Giacchino, et sa maman Quérida
Mais, Giacchino, avait aussi, sa maman de remplacement, Quérida, ma Dalmatienne. Pour ça, pas de problème, car, elle savait, très bien tenir, son rôle. Mais après l'éducation de son nouveau recheton, tout blanc, elle pouvait passé du temps aux jeux, avec son fiancé Fidzgérald. Et, qu'est-ce qu'ils en ont passé du temps à jouer.
Voilà, d'où vient mon Amour pour l'Akita, même si hélàs, la vie avec Giacchino, fût trop courte.
Dokan d'Aleyska
Pourtant, en 1992, à la mort de Giacchino, j'ai appelé l'Eleveur, qui me l'avais vendu, mais comme, il avait été obligé d'arrêter l'Elevage, j'ai donc appelé, l'Eleveur, qui avait racheté le papa de Giacchino, Dokan d'Aleyska. Et par chance, cet éleveur, avait des chiots de Dokan, encore disponibles, mais ce jour là, je n'ai pas craqué.
Et, parfois, je le regrette bien, car à part, un miracle, j'aurai du mal à retrouver un descendant. Pourtant, ce n'est pas si vieux que ça, 15ans.
La preuve, Fidzgérald, son grand copain, est parti au ciel, le rejoindre, que l'an dernier, alors qu'il avait 15 ans et 9 mois, un bel âge, mais encore trop jeune, quand on aime.
Giacchino, à 10 mois
Le demi-frère de Giacchino, serait, peut-être, encore, là, avec moi. C'est possible, car j'ai entendu parlé d'Akita, qui avait vécu, plus de 15 ans. Il aurait été, d'un blanc pur, tout comme son pauvre frère, Giacchino, tellement pur, que le jour de son incinération, alors que la personne, du crématoruim, allait prendre le chien, avec ses gants sales, ma mère s'exclama, "Mais vous n'avez pas vu, comme il est d'un blanc pur ", et par respect pour lui, l'homme, qui avait cette lourde charge, pris donc Giacchino, dans les bras, sans ses gants, afin de ne pas le salir.
V'Kazé no na wa O'Chanur
Et, me voilà, maintenant, avec, de nouveau, une gentile Akita, V'Kazé no na wa O'Chanur, un vent, qui se nomme au Chanur. Vous, vous rendez compte, il m'a fallu, plus de 10 ans, avant d'en reprendre " un ", mais non, ce fût plutôt " Une ", en plus, pas une blanche, mais une rousse.
Mais, je ne desespère pas, car un jour, ou l'autre, j'aurai mon Akita Blanc, et qui sait même, peut-être, un descendant, de Giacchino, car je continus, mes recherches.